L’histoire de l’aide humanitaire au lendemain du génocide des Arméniens est intimement liée aux récits de femmes ayant joué un rôle crucial dans l’aide aux malades et aux victimes de la famine en établissant des orphelinats, des abris et des hôpitaux et en soignant les survivants au cours d’un des chapitres les plus sombre de l’histoire des Arméniens. Ici, K. Mouradian examine les récits de quelques-unes d’entre elles, éclairant ainsi un des aspects les plus importants mais encore trop peu étudié du génocide des Arméniens.
Khatchig Mouradian est professeur invité au département d’études du Moyen-Orient, d’Asie du sud et d’Afrique (MESAAS) à l’Université Columbia de New York. Ses cours ont porté sur l’impérialisme, les violences de masse, les droits humains, les camps de concentration, l’espace urbain et les conflits au Moyen-Orient et sur la mémoire collective à la Rutgers University, Worcester State University, et à la California State University-Fresno. Il est l’auteur de multiples articles et chapitres d’ouvrages, y compris “The Meskeneh Concentration Camp, 1915-1917: A case study of power, collaboration, and humanitarian resistance during the Armenian Genocide”, Journal of the Society of Armenian Studies, Vol. 24 (2015); et « la résistance humanitaire en Syrie ottomane pendant le génocide des Arméniens (1915-1916) » Études arméniennes contemporaines, Vol. 7 (2016).
No comments:
Post a Comment